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"Le Rendez-Vous musique pas si classique" se déroule actuellement en Haute-Saône, avec l'oeuvre "Trois jours de moisson" proposée par le baryton Arnaud Marzorati et ses  musiciens. En préambule du festival, le baryton a sillonné les routes pour rencontrer les élèves des écoles du département, et y faire découvrir la grande musique mais également les chants anciens.

Nous avons eu le plaisir de le suivre lors de ses pérégrinations au pole éducatif de Jussey. Une école ravie d'accueillir le festival et d'éveiller les enfants à la culture, comme nous l'a confirmé la directrice de l'établissement.

Retrouvez ici notre reportage dédié à cette belle initiative.

Pour rappel, le rendez-vous pas si classique c'est du 08 au 12 juillet, tous les soirs à 20h30 pour des concerts dans les églises des villages de Haute-Saône (le 8 à Anjeux, le 9  à Lavoncourt, le 10 à Jonvelle, le 11 à Neurey-lès-La-Demie, et le 12 à Saint Barthélémy).

Le Rendez-Vous musique classique sur Facebookle site web.

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Le Rendez-Vous musique classique se rebaptise "pas si classique" pour coller à son esthétique musicale ouverte à de multiples registres. Rendez-vous du 08 au 12 juillet, tous les soirs à 20h30 pour des concerts dans les églises des villages de Haute-Saône (le 8 à Anjeux, le 9  à Lavoncourt, le 10 à Jonvelle, le 11 à Neurey-lès-La-Demie, et le 12 à Saint Barthélémy).

Et cette année, vous pourrez découvrir l'oeuvre "Trois jours de moisson" proposée par le baryton Arnaud Marzorati, accompagné de trois musiciens (Claire-Ombeline Muhlmeyer, Noé Bécaus et Pernelle Marzorati) pour un voyage musical captivant mêlant des airs anciens et des créations contemporaines.

Dans le replay qui suit, on vous propose une rencontre avec Françoise et Louise, membre de l'organisation des Rendez-vous, et Arnaud Marzorati.

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"La tendresse" c'est une oeuvre de Julie Berès et la compagnie "les cambrioleurs" mêlant théâtre et danse autour de l'émotion humaine et de la place de l'homme dans la société. Une remise en question de l'image de la masculinité.

Un spectacle qu'a pu découvrir Rémi, notre stagiaire, au théâtre Edwige Feuillère de Vesoul en mars dernier. Rémi nous livre ici son ressenti et son interprétation de l'oeuvre.

@crédit photo : Axelle De Russe

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Le 20 juin dernier, la communauté Emmaüs de Vesoul ouvrait ses portes pour un temps de convivialité avec des concerts participatifs, un repas partagé ainsi qu'une vente solidaire, et la réalisation d'une grande fresque en hommage à l'abbé Pierre. C'était aussi et surtout l'occasion de rappeler les valeurs et les engagements d'Emmaüs qui avait d'ailleurs invité ses partenaires, le centre d'accueil des demandeurs d'asile, l'association Est solidarité aux étrangers, et les représentants d'autres communautés Emmaüs.

Lors de cette journée nous avons échangé avec Karim Delmi, responsable de la communauté vésulienne, ainsi qu'un jeune réfugié installé récemment à Vesoul comme compagnon de la communauté.